Les histoires invisibles

5 novembre au 15 décembre 2019
Finissage le 12 décembre 2019 en 5@7

Jean-François Côté |

5 novembre au 15 décembre 2019
Finissage le 12 décembre 2019 en 5@7


Dans le cadre d’un projet qui se déroule de 2019 à 2021, LA CHAMBRE BLANCHE reçoit Jean-François Côté en résidence du 5 novembre au 15 décembre 2019. Cette première résidence lui permettra d’entamer un long processus de création qui se poursuivra auprès de coproducteurs de la ville de Québec. Dans ce projet, Côté souhaite construire un lieu où chaque spectateur a la possibilité d’élaborer ses propres trames temporelles et d’explorer les narrativités plurielles d'un dispositif vidéo et sonore. Ainsi, l’artiste a le désir de questionner la place de l’humain dans la société actuelle. Les expériences de migration, de territoire et de frontière sont au coeur d’un récit ouvert. Une présentation de résidence aura lieu le 12 décembre 2019 en 5@7.

Dans l’espace d’exposition, c’est par la multi projection, les canaux audio et les éléments physiques que se (re)construiront les récits. Concrètement, le spectateur se déplacera dans la reconstitution d’un studio de tournage créé par l’installation. Il fera son propre montage et mixage visuel et sonore en reconstruisant les plans visuels à chaque fois selon une nouvelle durée par son expérience de déambulation aléatoire dans l’espace en proposant un parcours d’errance. Les décors installatifs se veulent ouverts et inachevés de l’extérieur et pour marquer les passages entre les lieux de production (le studio) et de diffusion (la salle d’exposition). L’idée est de créer un lieu fictif dans lequel les temps passé, présent et futur se regroupent dans l’expérience d’un même lieu physique. Le spectateur peut alors déambuler dans l'espace et composer un récit du passé à partir de scènes existantes sous forme de projections sur des éléments de décor qui servent d’écran. Le présent s’organise autour de performances en temps réel alors que des scènes sont en train de se faire « live », à certains moments dans l’exposition, avec des acteurs qui performent devant le spectateur qui y participe indirectement. Le futur, quant à lui, s’anticipe par des décors où les scènes à tourner sont à venir. Parallèlement et simultanément, des scènes filmées et jouées seront proposées au spectateur dans l’installation. L’idée est d’explorer la rencontre entre l’éphémérité du geste performatif et la durée de la vidéo et de l’audio mis en commun dans le dispositif installatif.

Ce projet est réalisé avec le soutien du Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec et il est co-produit avec La Bande Vidéo, LA CHAMBRE BLANCHE, Recto-Verso et Spira.

L’artiste remercie : Étienne Baillargeon, Carol-Ann Belzil-Normand, Ludovic Boney, Émile Bureau, Martin Bureau, Ginelle Chagnon, Anaïs Côté, Claude-Olivier Guay, Sylvain Hotte, Carl-Dave Lagotte, Nady Larchet, Geneviève Martel, David Paré, Slobodan Radosavljevic, François Vallée.
Dans le cadre d’un projet qui se déroule de 2019 à 2021, LA CHAMBRE BLANCHE reçoit Jean-François Côté en résidence du 5 novembre au 15 décembre 2019. Cette première résidence lui permettra d’entamer un long processus de création qui se poursuivra auprès de coproducteurs de la ville de Québec. Dans ce projet, Côté souhaite construire un lieu où chaque spectateur a la possibilité d’élaborer ses propres trames temporelles et d’explorer les narrativités plurielles d'un dispositif vidéo et sonore. Ainsi, l’artiste a le désir de questionner la place de l’humain dans la société actuelle. Les expériences de migration, de territoire et de frontière sont au coeur d’un récit ouvert. Une présentation de résidence aura lieu le 12 décembre 2019 en 5@7.

Dans l’espace d’exposition, c’est par la multi projection, les canaux audio et les éléments physiques que se (re)construiront les récits. Concrètement, le spectateur se déplacera dans la reconstitution d’un studio de tournage créé par l’installation. Il fera son propre montage et mixage visuel et sonore en reconstruisant les plans visuels à chaque fois selon une nouvelle durée par son expérience de déambulation aléatoire dans l’espace en proposant un parcours d’errance. Les décors installatifs se veulent ouverts et inachevés de l’extérieur et pour marquer les passages entre les lieux de production (le studio) et de diffusion (la salle d’exposition). L’idée est de créer un lieu fictif dans lequel les temps passé, présent et futur se regroupent dans l’expérience d’un même lieu physique. Le spectateur peut alors déambuler dans l'espace et composer un récit du passé à partir de scènes existantes sous forme de projections sur des éléments de décor qui servent d’écran. Le présent s’organise autour de performances en temps réel alors que des scènes sont en train de se faire « live », à certains moments dans l’exposition, avec des acteurs qui performent devant le spectateur qui y participe indirectement. Le futur, quant à lui, s’anticipe par des décors où les scènes à tourner sont à venir. Parallèlement et simultanément, des scènes filmées et jouées seront proposées au spectateur dans l’installation. L’idée est d’explorer la rencontre entre l’éphémérité du geste performatif et la durée de la vidéo et de l’audio mis en commun dans le dispositif installatif.

Ce projet est réalisé avec le soutien du Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec et il est co-produit avec La Bande Vidéo, LA CHAMBRE BLANCHE, Recto-Verso et Spira.






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