Submergé, je jette l'éponge solaire

8 septembre au 30 septembre 2021
Présentation de résidence le 29 septembre 2021 à 17h

Daniele Di Girolamo | Carlo Lombardi |

8 septembre au 30 septembre 2021
​Présentation de résidence le 29 septembre 2021 à 17h


LA CHAMBRE BLANCHE a le plaisir d'accueillir les artistes italiens Daniele Di Girolamo et Carlo Lombardi pour une résidence du 8 au 30 septembre 2021. Nous invitons le public à rencontrer les artistes lors de la présentation de la résidence qui aura lieu le 29 septembre 2021 à 17h. Cette résidence est produite dans le cadre d'un échange avec le centre Rad'Art en Italie.

Submergé, je jette l'éponge solaire renvoie à un espace fluide lié à la mémoire, une observation du souvenir est intrinsèquement liée au concept d'oubli, non pas comme son contraire, mais plutôt comme un acte de réécriture de la mémoire en elle-même.

Le concept de familiarité est exploré en recueillant des traces humaines, afin de recréer un tissu de petits fragments de mémoire sans lieu ni temps précis qui puisse être vécu - réécrit - à nouveau. Symboliquement, Di Girolamo et Lombardi extraient la mémoire visuelle et sonore des matériaux et des lieux, en recherchant les conditions dans lesquelles les corps et le milieu environnant influencent la manière d'enregistrer une expérience.

Le travail final de cette résidence consiste à créer un paysage hybride, où les informations perdues et acquises sont reproposées pour explorer ce qui naît de ces nouvelles relations.

Éponge solaire est le premier nom attribué à la barytine (ou à la pierre de Bologne) vers 1602 par Vincenzo Casciarolo, un alchimiste amateur, qui, se référant aux propriétés phosphorescentes du minéral, a affirmé qu'il s'imprégnait de la lumière du soleil et réémettait cette lumière dans l'obscurité.

LA CHAMBRE BLANCHE a le plaisir d'accueillir les artistes italiens Daniele Di Girolamo et Carlo Lombardi pour une résidence du 8 au 30 septembre 2021. Nous invitons le public à rencontrer les artistes lors de la présentation de la résidence qui aura lieu le 29 septembre 2021 à 17h. Cette résidence est produite dans le cadre d'un échange avec le centre Rad'Art en Italie.
«Submergé, je jette l'éponge solaire» renvoie à un espace fluide lié à la mémoire, une observation du souvenir est intrinsèquement liée au concept d'oubli, non pas comme son contraire, mais plutôt comme un acte de réécriture de la mémoire en elle-même.
Le concept de familiarité est exploré en recueillant des traces humaines, afin de recréer un tissu de petits fragments de mémoire sans lieu ni temps précis qui puisse être vécu - réécrit - à nouveau. Symboliquement, Di Girolamo et Lombardi extraient la mémoire visuelle et sonore des matériaux et des lieux, en recherchant les conditions dans lesquelles les corps et le milieu environnant influencent la manière d'enregistrer une expérience.
Le travail final de cette résidence consiste à créer un paysage hybride, où les informations perdues et acquises sont reproposées pour explorer ce qui naît de ces nouvelles relations.
«Éponge solaire» est le premier nom attribué à la barytine (ou à la pierre de Bologne) vers 1602 par Vincenzo Casciarolo, un alchimiste amateur, qui, se référant aux propriétés phosphorescentes du minéral, a affirmé qu'il s'imprégnait de la lumière du soleil et réémettait cette lumière dans l'obscurité.

Daniele Di Girolamo est un artiste visuel et sonore. Ses recherches portent sur les relations entre les processus naturels et l’activité humaine. Des éléments tels que des sons, des objets, des matériaux naturels et des technologies sont impliqués dans ses installations. Parmi les expositions individuelles et collectives : Straperetana édition V, The New Abnormal, Pereto (AQ), 2021 ; My Blueberry Night II, ArtDate Festival, Ex Ateneo, Bergame, 2019 ; Sky Above, Sea Below, projet collaboratif avec Manrico Pacenti, Gallleriapiù, Bologne, 2019 ; Trasformazioni Silenziose, YAG, Pescara, 2018.

Carlo Lombardi est un photographe et un artiste visuel qui vit à Milan, en Italie. Il travaille principalement sur des projets à long terme à travers une approche multidisciplinaire qui implique la photographie et l'archive ainsi que la vidéo, le texte et le son. Son travail a été publié entre autres dans The British Journal of Photography, IO-Donna - Corriere della sera, le magazine GUP et le magazine Der Greif. Il a exposé dans des festivals photographiques tels que Hamburg Triennale, Voies OFF - Arles, Festival della Fotografia Etica, Festival della Fotografia Europea, Fotoleggendo, Fotofestiwal Lodtz et Les Boutographies.

Depuis 2017, Daniele Di Girolamo et Carlo Lombardi confrontent leurs recherches en étudiant les possibilités de leur collaboration. Cela prend la forme d'œuvres multimédias. Leurs projets ont été présentés pour : Dead Sea pour le Festival della Fotografia Europea, Reggio Emilia, Italie, 2018; Mer Morte pour le FotoFestiwal, Lodtz, Pologne, 2018 ; Mer Morte pour la 7e triennale de la photographie, Hambourg, Allemagne, 2018 ; Trasformazioni silenziose, exposition solo, Young Art Gallery, Pescara, Italie, 2018.




Photo : Carol-Ann Belzil-Normand, 2021.






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